C’est vrai, la vidéo sur vinyle pose quelques contraintes :
- qualité audio moindre qu’un vinyle classique (de par la compression et la cohabitation avec de la vidéo)
- qualité vidéo moindre qu’un DVD (et mieux qu’une VHS)
A l’heure actuelle, plusieurs candidats peuvent prétendre à la gravure :
- les courts-métrages d’animation, avec peu d’action
- les documentaires et interviews
- les dessins animés et mangas (avec peu d’action), à 24 minutes l’épisode (2 épisodes par 33 tours)
- les films muets en N&B (Charlie Chaplin, Georges Méliès…), qui sont tombés dans le domaine public (Youtube)
Et peut-être, quand j’aurai drôlement amélioré mes algorithmes :
- Concerts classiques, jazz
- Films HD
Il me reste de nombreux obstacles techniques à résoudre, dans la théorie je suis à 90% du processus complet. Il me manque :
- la qualité de résultat d’une gravure vinyle
- la lecture du flux vidéo extrait du décodage des données binaires du disque (je ressors bien les informations, mais n’arrive pas à les lire comme si c’était issu d’une webcam par exemple)
Pistes à explorer :
- HD Vinyl, une société autrichienne qui fait des vinyles haute définition (le concept n’est pas très clair…)
- Séparer le son de la vidéo (un piste pour chaque), avec des risques de désynchronisation, mais la possibilité de n’écouter que l’audio
- Convertir les données binaires en spectrogramme, et le spectrogramme en son (PhotoSounder ?)